J’ai testé le stage de survie proposé par Maloco
Vous connaissez Maloco ? Cette nouvelle plateforme propose des activités un peu atypiques. Le petit plus ? Chaque activité a été choisi avec un grand soin, avec des prestataires de qualité.
Je me suis ainsi laissé tenter par un stage de survie. Direction le Périgord pour 2 jours en forêt !
Stage de survie en milieu forestier
Je vais tenter de survivre en forêt, pendant 2 jours, avec très peu d’affaires : un duvet, un sac poubelle, 1L d’eau, une casserole, une frontale, un couteau, une bâche. Et c’est tout.
Le plus difficile pour moi ? D’abandonner ma brosse à dents !
Voici le stage que j’ai réservé.
Petit cours de botanique
C’est Denis qui m’accompagnera sur ce stage de survie. Notre petite équipe de 12 aventuriers part de bon matin, pour deux jours de survie en milieu forestier.
Tous les trois pas, Denis nous arrête pour nous montrer quelque chose de nouveau. Je me rends vite compte que la nature regorge de plantes utiles ! L’achillée millefeuille, un magnifique anti-inflammatoire naturel. Mais aussi la mauve, parfaite pour épaissir une soupe. Le millepertuis, un formidable déstressant, parfait pour une nuit calme. Mais aussi le chénopode, de la famille du quinoa, et son étrange goût d’épinard.
Même les feuilles d’ortie peuvent se manger crues ! Il suffit de savoir les plier correctement. C’est d’ailleurs une des plantes les plus riches en vitamine C que l’on peut trouver en forêt.
Récupérer de l’eau pour la survie
Un peu plus loin, une mare. Enfin, mare c’est un grand mot. C’est une sorte de grande flaque d’eau un peu stagnante, franchement marron.
Notre petite équipe doit maintenant se débrouiller pour y collecter un maximum d’eau, au moins 30L, que l’on devra ensuite emmener jusqu’au campement. Pas question de dormir près du point d’eau : il y aura trop d’insectes, et le vallon devient glacial la nuit.
Denis ne nous aide pas du tout ! Il nous regarde chercher des solutions, et ça le fait bien rigoler de nous voir livrer à nous même. Finalement, on utilise une bâche, des sacs poubelles, et des bouts de bois pour transporter l’eau. Ce n’est pas idéal ! La bâche fuit, c’est lourd, les sacs poubelles se percent, et tout cela donne une espace de mélasse au plastique. Bon appétit !
Heureusement, l’eau sera bouillie puis filtrée plus tard. Enfin, si l’on arrive à faire du feu.
Arrivés au camp, Denis nous livre ses astuces : nous aurions pu mettre les sacs poubelle dans nos housses de sac de couchage pour transporter facilement l’eau. Pas bête !
Construire un abri pour la nuit
Nous devons maintenant construire notre petit nid douillet pour la nuit. L’abris doit être robuste, mais aussi bien fourni pour nous isoler un maximum du froid.
Je choisi une équipière qui ne ronfle pas, et on se met au travail ! On a pensé à tout, même à la déco.
Faire du feu pour survivre
Voici l’étape la plus difficile de ce stage de survie, mais aussi celle que j’ai préféré.
Nous devons faire du feu, juste avec du noisetier, du lierre, une pierre, et un arc.
Même si les conditions étaient optimales, cela nous a pris plus d’une heure. Il faut vraiment frotter vite et fort pour obtenir une braise, puis souffler dessus juste comme il faut pour que la magie opère. Le tout est vraiment épuisant !
Mais la bonne nouvelle, c’est que l’on va pouvoir maintenant faire griller les sauterelles !
Une nuit au milieu des étoiles
Bien installés au coin du feu, nous en profitons pour refaire le monde. L’eau est bouillie puis filtrée, les sauterelles grillent joyeusement, la soupe aux orties s’avère être délicieuse. On est plutôt pas mal finalement.
Je boude même mon abri à la nuit tombée pour dormir à la belle étoile : le ciel était vraiment superbe ce soir-là, j’ai dormi les yeux grands ouverts pour ne pas rater une seule minute de ce spectacle.
Transporter un blessé et s’orienter
Le lendemain matin, des petits ateliers nous attendent. Comment transporter un blessé en pleine forêt ? Comment se repérer avec les étoiles, mais aussi beaucoup d’autre choses.
Nous avons aussi une toute dernière épreuve : une course d’orientation nous permet de retrouver la civilisation. On est quand même pas mécontent de retrouver la douche… et un bon repas !
Direction Maloco pour d’autres aventures !
Je ne peux que vous conseiller ce stage de survie réservé sur la plateforme Maloco !
Jetez un coup d’œil aux autre activités proposées : Maloco, c’est une boîte dynamique lancée par deux jeunes, et ils prennent un immense soin à sélectionner les meilleurs prestataires !
J’ai personnellement un gros coup de coeur pour la journée découverte de la croisière, le stage radeau et survie, ou le jeu de piste urbain à Paris.
Même si vous ne choisissez pas ce prestataire, attention à ne pas vous précipiter sur le premier stage de survie : c’est important de choisir un prestataire de qualité pour en apprendre un maximum, et surtout, ne pas vous mettre en danger.
Alors, vous partez bientôt à l’aventure ?
Voila ! J’espère que cet article vous a donné envie de tester le site Maloco.
N’hésitez pas à me raconter votre aventure en commentaire !
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A bientôt ?